La vie de Jules Isaac s’acheva en 1963 dans l’espérance d’une promesse, donnée deux ans plus tôt, du pape Jean XXIII qui avait mesuré avec les chrétiens les conséquences de l’antijudaïsme dans la Shoah.
L’un des fruits en fut la Déclaration conciliaire Nostra Aetate en 1965, dont le paragraphe 4 consacré au judaïsme constituait la dernière partie, le plaçant alors au même plan que l’islam et « les diverses religions non-chrétiennes ».
Depuis, le dialogue entre juifs et chrétiens, faisant émerger le lien intrinsèque qui les unit, lui donna une place singulière dans sa relation avec les églises.
Jean-Dominique
Durand nous propose, en retraçant les principales étapes des progrès réalisés dans
l’amitié fraternelle, de saisir la spécificité de la filiation commune du
christianisme et du judaïsme et dont l’Amitié Judéo-Chrétienne de France reste
le témoin permanent.
Vous pouvez écouter la conférence en cliquant sur ce lien.
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